Mois du film documentaire

Filmer les arts ? Retour sur cette démarche qui consiste à porter un regard aussi artistique que possible sur un art... Il ne s'agit pas de mise en abîme, mais de rencontre. Et aussi de médiation, puisque qu'il s'agit de donner à voir - en sollicitant tous les sens possibles - de sorte qu'une connaissance, autrement dit une pensée, se construise. Georges Heck retiendra trois propositions qui marquent des écritures originales, aux confins du documentaire, pour précisément interroger cette démarche même : « Panamarenko : portrait en son absence » de Claudio Pazienza, 1997, 26', couleur, documentaire « L’Expression des mains » de Harun Farocki, 1997, 30' « Le singe de la lumière » de Erik Bullot, 2002, 23’