Disgrâce
© Jérôme Diacre
Une proposition de Frédéric Lecomte,
en bande organisée avec Jérôme Diacre et Eléonore Marie Espargilière.
Avec les artistes :
Caroline Barc, Grégoire Bergeret, Nicolas Chatelain, François Durif, Lotta Hannerz, Jean Laube,
Frédéric Lecomte, Stéphane Lecomte, Diego Movilla, Yazid Oulab, Ghislaine Vappereau,
Jean-Pascal Vial (programmation vidéo), Ruelgo (pièce sonore), et plus encore...
Le Générateur vit dangereusement, ce n’est pas nouveau, et ça s’aggrave. En donnant une troisième carte blanche à l’artiste activiste multirécidiviste Frédéric Lecomte, c’est à l’intrusion d’une épiphanie folle - mais pas totalement furieuse - que ce vaste lieu s’expose. Il y aura donc bel et bien exposition, à tous les sens du terme ; prise de risque,
fil du rasoir, lame, et fond.
Disgrâce, c’est une partition ordonnée du danger et du fragile, une proposition de contrepoint modeste mais pas dupe au spectaculaire banalisé. Qu’elles mesurent vingt mètres ou vingt centimètres, qu’elles soient papier, pierre, couteau ou… film, les œuvres exposées au Générateur proposeront toutes au spectateur une même qualité de vertige.