Connecting thing II

Des organismes mécaniques non identifiés se répandent dans l’espace de la galerie, sur les murs, sur des plaques d’aluminium et sur des sculptures. Il impose son langage explosif en noir et blanc et son refus des limites qu’elles soient physiques ou psychologiques. Ces dessins automatiques vivent ensuite une seconde vie en évoluant sous différentes formes et sur différents supports : peinture acrylique sur aluminium, peinture sur carrosserie de voiture, sur papier, ou sur stickers collés sur les murs des villes. Ses écritures s’apparentent au graphisme de l’art urbain, à l’art primitif, à la rigueur de la calligraphie japonaise et au systématisme des oeuvres du groupe français BMPT. À l’image des peintures primitives, son langage se veut universel et fonctionnel...