Encarts publicitaires, affiches, produits commerciaux ou cadeaux promotionnels : 300 objets qui soulignent l’impact de l’héritage antique dans notre univers contemporain. Exposition accompagnée d’un catalogue documenté et illustré.
Cinq mille ans d’histoire de l’écriture sont retracés de la gravure sur argile des Sumériens aux machines à écrire du XXe siècle.
La photographie au service de la critique politique et sociale : l’hebdomadaire VU, remarquablement imprimé en héliogravure, fait appel aux plus grands de l’époque (de Brassaï à Krull) comme aux images d’agence. Novateur dans sa forme, il exploite le photomontage et les ressources expressives de la mise en pages, et contribuera à inventer le photoreportage.
Formé dans la tradition graphique suisse, Bruno Monguzzi s’est éloigné du style international dès la fin des années 1960, bien qu’il y soit resté attaché par sa rigueur typographique. Il a réalisé l’identité visuelle du musée cantonal d’Art de Lugano, contribué avec Jean Widmer à celle du musée d’Orsay, et créé également de nombreuses affiches culturelles.
Des affiches récentes, des travaux préparatoires (esquisses, tirages photographiques, dessins originaux…) mais aussi un nombre important de couvertures de livres. Conférence le 18 janvier à 19 h.
Projets d’édition : catalogues, revues, et initiatives réalisées en collaboration avec des artistes, des critiques et des auteurs divers.
Le concours international annuel du Type Directors Club de New York reflète les tendances de la création typographique contemporaine : Typography 27 The Annual of the Type Directors Club (éd. Harper Design International) présente l’ensemble des réalisations retenues.
(voir exposition 9 janvier)
Marco Fiedler et Achim Reichert présentent leur revue Fairy Tale et leur travail expérimental d’identité visuelle et de signalétique pour diverses institutions artistiques en France et en Allemagne.
Créé à Londres, Onedotzero est l’un des principaux festivals internationaux consacrés aux films numériques. Laboratoire de l’image en mouvement où viennent puiser cinéastes, designers graphiques ou publicitaires.
Michael Twyman, professeur émérite à l’université de Reading (GB), auteur d’ouvrages sur l’histoire de l’imprimerie et des techniques graphiques. Conférence organisée par l’association les amis du musée de l’Imprimerie sur les éphémera, fragiles témoignages de l’imprimerie du quotidien, encore peu étudiés et rarement conservés.
Une pratique du déplacement dans sa réalité géographique mais aussi dans sa dimension imaginaire et utopique. Un espace de réflexion construit à partir de moyens très divers (photographie, vidéo, installation et design graphique).
25 artistes français réunis par la revue alternative de création Redux : illustration, graphisme, graffiti et street art, et leurs prolongements artistiques. Films et photomontages.
Une sélection d’œuvres phares de Massin, représentatives de son apport dans le domaine du graphisme éditorial. Des clubs de livres de la fin des années 1940 aux éditions Gallimard dont il assure la direction artistique à partir de 1958 durant plus de vingt ans (et à l’enseigne desquelles il réalise sa célèbre mise en pages de La Cantatrice chauve d’Eugène Ionesco), jusqu’à ses créations plus récentes.
Autour de l’archivage et de la conservation d’archives graphiques.
Le cycle Off Set, laboratoire de design graphique invite chaque année deux jeunes créateurs à exposer une sélection d’œuvres. Le travail de Mathias Schweizer navigue constamment entre de multiples moyens d’expression, liant vidéo, conception typographique, image et musique.
(voir 18 janvier)
Actif aux Pays-Bas durant plusieurs décennies, cofondateur du studio Total Design à Amsterdam en 1963 et auteur en 1967 du célèbre New Alphabet conçu pour l’écran cathodique, Wim Crouwel développe un travail graphique marqué à la fois par la rigueur moderniste et par les courants artistiques des années 1960 et 1970.
(voir 18 janvier)
Gérard Paris-Clavel, à l’origine de la création de l’association Ne Pas Plier, met en œuvre mots et images, paroles et pensées pour donner forme aux luttes politiques d’aujourd’hui. Exposition issue de la rencontre d’étudiants et de Ne Pas Plier, sur l’expérience urbaine politique et esthétique. Journée d’étude le 7 mars.
Interventions de Marie-José Mondzain, philosophe et écrivain, Jean-Pierre Grunfeld, sémiologue, et Gérard Paris-Clavel, graphiste.
Graphiste, illustrateur et peintre d’images, adapte son univers onirique à une multitude de supports — affiches, journaux et publications. Présentation de ses travaux récents.
Collectif graphique lyonnais, Trafik place au cœur de son travail, à la fois simple et ludique, l’interactivité et la participation du public, notamment à travers des générateurs de formes comme la Signotek et la Typotek, logiciels de création collective en ligne. Présentation de travaux de commandes et de projets réalisés en lien avec les établissements scolaires et la population chaumontaise.
Génèse graphique des livres mis en pages — « dessinés » préfère dire Millot — pour différents éditeurs : ouvrages de littérature et de sciences humaines, catalogues artistiques.
(voir 18 janvier)
(Voir 2 novembre 2006)
Rik Bas Backer, né à Amsterdam, est installé en France depuis 1995. Son principal client est la maison de couture A.P.C. pour laquelle il développe une identité visuelle dépouillée et fonctionnelle. José Albergaria est né au Portugal, où il crée l’atelier de création graphique Barbara says. Ensemble ils travaillent à l’enseigne de Change is good, atelier né en 2001 de leur rencontre à Paris.
Rencontre internationale structurée en trois tables rondes réunissant des historiens et théoriciens (Monique Sicard, Catherine de Smet, Max Bruinsma, Madeleine Atktypi, Pierre-Damien Huyghe, Anne-Marie Christin) et des designers graphiques et typographes dont le travail est exposé en parallèle au Lux, scène nationale de Valence. Organisé par le réseau des écoles d’art de la Région Rhône-Alpes (ADERA).
Travaux de graphistes néerlandais, suisses et français, participant au colloque DDD AAA : Mevis & Van Deursen, Lucas de Groot, André Baldinger, François Rappo, Norm, Laurent Fétis, Philippe Millot et Georges Legrady. Travaux d’étudiants exposés simultanément à l’école des beaux-arts.
L’affiche, témoin privilégié de l’évolution sociale. Les multiples facettes de ce moyen d’expression à travers une sélection emblématique, destinée à un large public, d’images réalisées par soixante graphistes internationaux entre 1946 et 2006.
Un panorama de l’imprimerie lyonnaise au XIXe siècle, à travers de nombreux documents témoignant de l’importance jouée par l’industrie graphique dans le développement de la cité. Un chapitre du catalogue de la manifestation « L’esprit d’un siècle, Lyon 1800-1914 » est dédié à l’exposition.
Dominique Varry, professeur d’histoire du livre.
Invitation à l’occasion du cycle anniversaire célébrant les trente ans du Centre Pompidou : « Histoire des trente 1977-2007 ». Petite salle.
Imaginée par les graphistes-activistes de Bazooka, ce supplément de Libération publié de 1978 à 1981, surprend encore par sa liberté d’expression éditoriale et graphique. L’exposition présente l’ensemble des publications originales et de nombreux dessins et collages. En parallèle, les fanzines Loukoum Breton et Activité sexuelle normale conçus pendant leurs études sont présentés à la galerie de l’école.
Graphiste et typographe coréen, Ahn Sang-Soo est aussi engagé dans la promotion du graphisme à travers des activités de traducteur et d’enseignant. Ses affiches et ses éditions associent l’héritage de la modernité occidentale aux apports de sa culture. Ahn Sang-Soo a redessiné l’alphabet coréen, le hangui, pour un usage contemporain.
Concours international d’affiches : envois de graphistes du monde entier. Trois prix décernés par un jury international. Exposition de la sélection du jury.
13e Concours « Étudiants, tous à Chaumont ! » et workshops « Le réchauffement de la planète » en collaboration avec Courrier international : trois prix décernés par le jury. Exposition de la sélection du jury. Workshops répartis en sept ateliers accueillant une centaine d’étudiants français et étrangers, et animés par El Fantasmas de Heredia (Argentine), Haichen Zhu (République populaire de Chine), Christoph Niemann (États-Unis), Cyril Cohen (France), Anne-Marie Latrémollière (France), Liza Ramalho (Portugal) et Niklaus Troxler (Suisse).
Inscriptions par l’intermédiaire des écoles d’art.
Paul Rand : hommage à un designer américain emblématique de la modernité, dont la longue carrière couvre tous les domaines de la communication visuelle. On lui doit notamment de nombreuses affiches, des livres pour enfants, des identités graphiques (pour IBM, Westinghouse, la chaîne de télévision ABC ou la société de portage UPS). Richard Niessen : esquissant l’image d’une urbanité modulaire et constructiviste, le Néerlandais Richard Niessen crée des environnements dans lesquels le public est invité à cheminer à travers affiches, flyers et autres éléments imprimés.
Paysage(s) de la scène française : coup de projecteur sur la scène française, vivace et polymorphe, à travers une large sélection de graphistes indépendants et de studios.
Le graphisme exhorte, persuade, ironise, instruit, célèbre ou dénonce. Il encourage aussi la rencontre, le partage et la fête. Une sélection d’affiches internationales des années 80 à nos jours pour démontrer la fonction culturelle, sociale et politique de l’affiche. Une plaquette de présentation accompagne l’événement.
D’origine slovaque et vivant aux Pays-Bas, Peter Bilak présente ses activités de graphiste, d’éditeur de la revue Dot dot dot, et de commissaire d’expositions.
Concours européen d’affiches sur le thème de la ville. Sélection exposée à l’hôtel de ville et sur les panneaux d’affichage municipaux. Rétrospective des affiches de vœux de Fontenay et des affiches conçues pour les éditions précédentes ; mur typographique ; interventions diverses de Bruno Souêtre à La Galeru (vitrine d’art contemporain), de David Poullard pour la roulotte de La Galeru Mobile, de Fanette Mellier sur la façade de l’école d’arts plastiques, de Mathias Schweizer dans le jardin de la Galerie de l’école et de Ronald Curchod (« Dessins “émis-reçu” : une correspondance avec Jean-Paul Bachollet »). Travaux d’étudiants des écoles des beaux-arts de Cambrai et de Rennes.
En voulant contenir tous les savoirs du monde, ces livres-bibliothèques que sont les encyclopédies se révèlent fragiles et menacés d’obsolescence. Sujets d’interrogations : la lisibilité, l’accès à l’information, les interfaces pour le papier ou le numérique, la constitution des savoirs, la rédaction collaborative, le plaisir du regard et du feuilletage, les enjeux sociétaux. Les auteurs, typographes, graphistes, artistes, éditeurs et réalisateurs présents se prêtent à l’exercice de la leçon d’Anatomie.
(Voir 23 mars)
Avec pour point de départ les livres et autres imprimés présents dans les collections de la Ville de Chaumont, exploration, sous forme de voyage, de tous les aspects de l’édition : mise en page, typographie, impression, choix du papier, fabrication.
Leur première rencontre date de leurs études à l’Atelier national de création typographique. Baldinger et Millot se retrouvent pour un ping-pong présentant leurs travaux de ces dix dernières années.
Hommage à Francisque Poulbot, figure indissociable de la vie sur la Butte Montmartre au début du XXe siècle et dont le patronyme est devenu un nom commun. Présentation d’affiches, de livres illustrés, de dessins, de publicités pharmaceutiques et de menus. Exposition organisée avec la collaboration de l’association « Les amis de Francisque Poulbot ».
Le tandem formé par Helena Ichbiah et Piotr Karczewski, « touche-à-tout de l’image » au riche vocabulaire visuel, travaille selon la même dynamique créative, et avec la même exigence, dans tous les domaines où il intervient : culture ou publicité, industries du luxe et du disque, univers de la mode et du design.
Participant à la jeune scène amstellodamoise, Wouters conjugue les différents supports de l’activité graphique : performances vidéo, affiches, installations, flyers et génériques de films, et transgresse en permanence les frontières entre graphisme et art contemporain.
Hebdomadaire fondé en 1934 en France, Le Journal de Mickey a été, et demeure, pour de nombreux enfants, la première initiation à la presse et à la bande dessinée. Les grands moments de l’histoire du journal, et son actualité, évoqués à travers dessins et documents, retraçant au passé comme au présent le travail de ses équipes de rédacteurs, de dessinateurs et de maquettistes.
(Voir 18 septembre)
Depuis la création de son propre studio en 1998, Duval alterne commandes pour l’édition, la presse et les institutions culturelles. Mais c’est surtout son travail narratif et coloré pour le milieu alternatif qui l’a fait connaître, notamment à travers la direction artistique, de 1999 à 2003, du Batofar, lieu d’expérimentation pluridisciplinaire lié aux nouvelles technologies.
Une sélection d’environ 80 films, parfois rares et méconnus, retrace l’histoire du film d’animation publicitaire de 1910 à aujourd’hui. Les pionniers du genre — Émile Cohl, Robert Lortac, Alexandre Alexeieff — côtoient des réalisateurs plus contemporains comme les Frères Poiraud, So and Sau ou encore Ich&Kar. L’évolution des techniques d’animation, du cello à l’image de synthèse. Projection de films dans les salles d’exposition.
Invitation à l’occasion du cycle anniversaire célébrant les trente ans du Centre Pompidou: «Histoire des trente 1977-2007». Cofondateur du collectif Grapus et directeur de l’Atelier de création graphique créé en 1990, Pierre Bernard est lauréat du Prix Érasme, décerné en 2006 pour son travail dans le domaine du graphisme d’utilité publique.
D’origine lituanienne, Stasys Eidrigevicius vit à Varsovie depuis 1980. À la fois graphiste, illustrateur et peintre, il réalise des illustrations pour des livres d’enfants et de nombreuses affiches dans le domaine du théâtre et du cinéma.
Willem Sandberg (1897-1984) a conçu presque tous les documents promotionnels pour ce musée qu’il transforma après la Seconde Guerre mondiale en centre vivant d’art contemporain. Le graphisme s’intégrait au grand dessein qu’il avait formé : mettre en contact le public de façon naturelle avec les œuvres. Présentation d’un large éventail des créations typographiques de Sandberg et de quelques œuvres caractéristiques de sa politique. Un catalogue accompagne l’exposition.
En vue de la création du Centre international du graphisme, la Ville de Chaumont lance un concours d’architecture et organise à cette occasion une exposition explorant les liens entre le graphisme et l’architecture, à travers livres d’architecte et projets de signalétique ou d’environnement urbain.
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