WOLFGANG OELZE et GOESTA DIERCKS
«Fuzzy» (fibreux, flou, vague) ne touche pas par hasard aux références à l’obscurité et par conséquent
à l’inconscient. Des traces caractéristiques se compriment dans des lieux ou taches mystérieux.
Le «spot» est situé conceptuellement entre la tache diffuse et aussi bien le locus.
Il qualifie la clarification et aussi la contamination de l’espace d’image. Dans les zones troublées des
forums on-line les utilisateurs de technique se rencontrent – troublés, et ils posent des questions
concernant les sombres taches sur leurs images de caméra numérique, des questions qui mènent
au néant. Dans l’idée des «bonnes choses» et de «l’homme en mesure ultérieure de toutes choses»
l’inconcevable et le terrible sont fondés en même temps. Ici même, il est indiqué par les taches
inexplicables mentionnées plus haut.
Est-ce que ce sombre sentiment a un lieu, et comment peut-on le voir? Celui-ci n’est positionné
que localement et dans le paysage – des sentiments sont aussi devenus des lieux imagés par
la psychologie, la neurologie et la génétique. Puisque l’exploration scientifique toutefois paraît
maîtrisable, elle soulève d’autant plus la question concernant l’imprécis, le défaut, l’angle mort.
La complexité et la monstruosité de ces surfaces invitent à la perpétration artistique.
L’indistinct et le vague même deviennent une sphère fascinante de l’imagination sombre qui
doit être explorée. La croyance populaire, les hyperboles cinématographiques, les hypothèses
absurdes, les fragments énigmatiques combinés, les objets se dissolvant d'eux-mêmes et les
paysages de ruines sont les objets d’exploration dans cette exposition.
Dans l’espace très proche de la galerie, 33 rue Sylvabelle, Wolfgang Oelze et Goesta Diercks présentent une installation collective, qui dans les superpositions formelles montre aussi les concentrations du sujet.
Tarifs :
Gratuit