Utopies volatiles
UTOPIES VOLATILES Gérard Pélisson
Après des études d’optique et d’électronique au lycée La Martinière de Lyon, et quelques applications de cette formation dans des entreprises Lyonnaises, Gérard Pélisson collabore à différents longs métrages à France 3 Rhône Alpes. Par amour du cinéma il devient photographe de plateau pour des longs métrages aux réalisateurs prestigieux comme Bertrand Tavernier, Robert Enrico, Nadine Trintignant…. Et immortalise sur sa pellicule de grands comédiens tels qu’Alain Delon, Sophie Marceau, Marlène Jobert, Christine Boisson…. Passionné par les métiers de l’image il crée en 1986 sa propre société de productions de films Y.N Productions, avec laquelle il produit et réalise pendant plus de vingt ans un très grand nombre de documentaires et de magazines pour la télévision. Très sensible à l’univers du Jazz and Blues il produit une série de concerts « les rendez vous du Jazz » de 1998 à 2005 et « les étoiles du Blues « de 2005 à 2009 » avec entre autre la participation de Jean Jacques Milteau, Demy Evans, Bill Cobam, Charlie Miller, Emy Keys, Greg Zlap… Il crée pour cela sa propre salle de spectacle à Lyon : l’Etoile Royale. Parallèlement il explore l’écriture au travers de recueils de textes et poèmes ainsi que dans l’élaboration d’un roman policier pour l’adaptation cinématographique. Egalement Photographe pour des livres d’arts, les Etats Unis, l’Asie, l’Afrique, mais aussi les Régions de France lui donnent l’inspiration de ses sujets thématiques.
Grand voyageur, toujours à la recherche de nouveautés, Gérard Pélisson expose aujourd’hui ses oeuvres photographiques : « UTOPIES VOLATILES ». Une enquête sur les Utopies de nos vies, de notre société, de nos espoirs. Un regard précis sur le monde ordonné et futile autour de certitudes installées qui ne sont finalement que poussières dans le vent mais sur lesquelles reposent des croyances et des aveuglements collectifs. Le temps, tel un escalier mécanique à l’engrenage implacable, s’invite également dans la réflexion de cette exposition comme si sournoisement il existait un rapport entre la pensée et sa localisation temporelle.