Thierry BOUTONNIER
Thierry Boutonnier, né en 1980 dans le sud-ouest, a grandit dans l’élevage laitier de ses parents. Ouvrier agricole, il finança ses études à l’école nationale des beaux arts de Lyon et à l’université Concordia à Montréal. Diplômé en 2005, il s’aventura au Portugal, au New-Jersey, en Basse-Normandie ou dans le Tarn. Fort d’intenses coopérations, il réalise des actions et des objets en interdépendance avec des écosystèmes comme pour Lausanne Jardin (2009), Naturel Brut (2010) ou Polyculture (2011). Son travail fût montré au Canada, en Allemagne, en Pologne, en Suisse, à la Biennale de Paris (2006) et celle de Rennes (2010) ou à Fiac (2011). En 2010, il a obtenu le prix COAL art et environnement pour son projet « Prenez racines ! » à Lyon.
Dernières expositions
2011 : Résidence au Lycée Agricole de Flamarens, « Anarchisations », + si affinité, Fiac, Tarn.
2009/2010 : Diplôme Universitaire en Nuisance et Pollution à l’Université Claude Bernard, Lyon 1.
Du 28 mai – 31 octobre 2010 : « Vulpes vulpes » pour « Naturel brut », Parcours Art et Biodiversité, Paris.
30 Avril – 18 Juillet 2010 : « Ce qui vient, … » , Biennale d’Art Contemporain de Rennes
22 mai au 27 Juin 2010 : « Ré-actif », 2 Angles, Flers, Orne
30 mars 2010 : « Assolement pour Mermoz » , Prix COAL, Art et environnement
2009 : « ET IN ARCADIA EGO » , projet d’architecture du paysage pour Lausanne jardin 2009, Lausanne (Switzerland).
2008 : « Strike back » , Galerie [ON], Poznan (Poland). « Spongy Lung”, San Servolo. Venise.« Beau-Jolie » , projet curatorial OffOff.
2007 : Festival « Art des corps ». Lagorce.
2006 : Résidence artistique au Portugal. Exposition à la « Gdk » Berlin. Biennale de Paris.
2005 : Diplôme National Supérieur d’Etudes Plastiques à l’Ecole National des Beaux Arts de Lyon.
2004 : « Elsewhere II exhibition », CONCORDIA UNIVERSITY, Montréal, Canada.
2003 : « Spacing the Line », Galerie der Hochschule für Grak und Buchkunst Leipzig. Participation au 1 % artistique, Grands Ateliers de l’Isle d’Abeau avec l’artiste Christian Philipp Müller.
