Centre d'art contemporain / Passages
Françoise QUARDON : la surface de réparation
Exposition
Film, vidéo
Centre d'art contemporain / Passages
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Troyes
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Qu’est-ce- qu’un événement, quand et comment celui-ci advient-il ? Comment apparaît-il dans la pensée et se concrétise-t-il dans une forme (langage,sculpture,image...) ? Quels devenirs et nouveaux repères sont générés par l’analyse de ce phénomène, correspondances et infléchissements entre le réel et fiction, espace privé et collectif ? installation, vidéo, photographie
Complément d'information
communiqué de presse
COMMUNIQUE DE PRESSE
exposition Françoise QUARDON
la surface de réparation
installation, vidéo, photographie
18 septembre - 7 novembre 2003
vernissage mercredi 17 septembre 2003 à partir de 18h30
<< Etrange parti pris cependant qui valorise aveuglément la profondeur aux dépens de la superficie et qui veut que superficiel signifie non pas de vaste dimension mais de peu de profondeur, tandis que profond signifie au contraire de grande profondeur et non pas de faible superficie. Et pourtant un sentiment comme l’amour se mesure bien mieux, il me semble, si tant est qu’il puisse se mesurer, à l’importance de sa superficie qu’à son degré de profondeur. >>
Gilles Deleuze citant Michel Tournier In Logique du sens.
Qu’est-ce- qu’un événement, quand et comment celui-ci advient-il ?
Comment apparaît-il dans la pensée et se concrétise-t-il dans une forme (langage,sculpture,image...) ?
Quels devenirs et nouveaux repères sont générés par l’analyse de ce phénomène, correspondances et infléchissements entre le réel et fiction, espace privé et collectif ?
Dans ce cadre, la mise en évidence des liens construisant un arbre généalogique d’une nouvelle espèce, dans une solitude multiple et peuplée, repose la question de l’identité et de l’anonymat, son rapport à l’ornement(l’ornement, c’est l’indéfini), au <> et aux échelles ; une manière à travers l’arrêt sur image qu’est une oeuvre, d’inventer une forme du présent, ainsi le personnage d’Alice de Lewis Carroll qui, en même temps qu’elle grandit, à cet instant même devient plus petite.
Au centre de ce projet, la peau et ses extensions : ce qui remonte et s’agite à la surface des corps.
Ces corps ne courent pas en ligne droite , ni après quelque chose de particulier, ils sont hors d’eux, s’engouffrent et disparaissent dans les possibles que le décor, les accessoires leurs proposent.
Le passage de l’envers à l’endroit- réaction instable- du dessus au dessous se fait dans une manière de réparateur : Art mineur de la broderie, de l’ornement, du tatouage, passé empiétant qui remplit la surface en piquant, sans repentir.
L’exposition sera agencée en une succession d’espaces mêlant photographies, sculptures, langage, dessin mural piqué et vidéo.
Hormis quatre oeuvres (de 2000 à 2002), toutes les pièces sont des inédits réalisés pour la surface de réparation.
La surface de réparation se jouera en trois mi-temps :
A Troyes, au Centre d’Art Passages du 17 septembre au 30 novembre 2003
A Rennes, au Triangle, de janvier à mars2004
A Pougues les Eaux, au Centre d’Art, courant 2004.
Pour tout complément d’informations :
dossier de presse et visuel sur demande
CAC Passages, ouverture tous les jours de 14 à 18h, mercredi de 14 à 20h, sauf dimanches et jours fériés.
COMMUNIQUE DE PRESSE
exposition Françoise QUARDON
la surface de réparation
installation, vidéo, photographie
18 septembre - 7 novembre 2003
vernissage mercredi 17 septembre 2003 à partir de 18h30
<< Etrange parti pris cependant qui valorise aveuglément la profondeur aux dépens de la superficie et qui veut que superficiel signifie non pas de vaste dimension mais de peu de profondeur, tandis que profond signifie au contraire de grande profondeur et non pas de faible superficie. Et pourtant un sentiment comme l’amour se mesure bien mieux, il me semble, si tant est qu’il puisse se mesurer, à l’importance de sa superficie qu’à son degré de profondeur. >>
Gilles Deleuze citant Michel Tournier In Logique du sens.
Qu’est-ce- qu’un événement, quand et comment celui-ci advient-il ?
Comment apparaît-il dans la pensée et se concrétise-t-il dans une forme (langage,sculpture,image...) ?
Quels devenirs et nouveaux repères sont générés par l’analyse de ce phénomène, correspondances et infléchissements entre le réel et fiction, espace privé et collectif ?
Dans ce cadre, la mise en évidence des liens construisant un arbre généalogique d’une nouvelle espèce, dans une solitude multiple et peuplée, repose la question de l’identité et de l’anonymat, son rapport à l’ornement(l’ornement, c’est l’indéfini), au <> et aux échelles ; une manière à travers l’arrêt sur image qu’est une oeuvre, d’inventer une forme du présent, ainsi le personnage d’Alice de Lewis Carroll qui, en même temps qu’elle grandit, à cet instant même devient plus petite.
Au centre de ce projet, la peau et ses extensions : ce qui remonte et s’agite à la surface des corps.
Ces corps ne courent pas en ligne droite , ni après quelque chose de particulier, ils sont hors d’eux, s’engouffrent et disparaissent dans les possibles que le décor, les accessoires leurs proposent.
Le passage de l’envers à l’endroit- réaction instable- du dessus au dessous se fait dans une manière de réparateur : Art mineur de la broderie, de l’ornement, du tatouage, passé empiétant qui remplit la surface en piquant, sans repentir.
L’exposition sera agencée en une succession d’espaces mêlant photographies, sculptures, langage, dessin mural piqué et vidéo.
Hormis quatre oeuvres (de 2000 à 2002), toutes les pièces sont des inédits réalisés pour la surface de réparation.
La surface de réparation se jouera en trois mi-temps :
A Troyes, au Centre d’Art Passages du 17 septembre au 30 novembre 2003
A Rennes, au Triangle, de janvier à mars2004
A Pougues les Eaux, au Centre d’Art, courant 2004.
Pour tout complément d’informations :
dossier de presse et visuel sur demande
CAC Passages, ouverture tous les jours de 14 à 18h, mercredi de 14 à 20h, sauf dimanches et jours fériés.
Artistes
Adresse
Centre d'art contemporain / Passages
9 rue Jeanne d'Arc
10000 Troyes
France
Comment s'y rendre
Situé à 1h30 de Paris par le TER, il est le centre d’art contemporain le plus à l’ouest de la région qui en compte quatre avec la Synagogue de Delme, le CEAAC à Strasbourg et la Kunsthalle de Mulhouse. À l’échelle locale, il est idéalement situé à 5 min à pied de la gare de Troyes, au pied du centre historique en forme de bouchon de champagne.
Dernière mise à jour le 2 mars 2020