Michèle SYLVANDER
Sans titre (#Z) 2019-2020
Série Juste un peu distraite
Crayon noir et rehauts au crayon de couleur, cadre chêne, 21 x 14,8 cm
Vit et travaille à Marseille
Représentée par la galerie Luis Serpa, Lisbonne
Michèle Sylvander développe un travail artistique qui s’appuie principalement sur la photographie mais déploie également ses formes dans l’installation, le dessin ou la vidéo… Ses œuvres problématisent la question du genre, des codes sexuels, du corps politique, social, du rapport à l’autre… L’autoportrait et la vie de famille y occupent une place centrale; à travers eux, l’artiste affirme le point de vue suivant lequel la proximité de l’expérience personnelle contient une certaine forme d’universalité. Ils disent aussi qu’il y a là le nœud de la construction sociale (le «moi» dans le petit jeu de la cellule familiale comme métonymie du «moi» sur la grande scène du monde). Guillaume Mansart (extrait communiqué de presse, A mon retour, je te raconte)
Michèle Sylvander develops artwork based mainly on photography, but which also extends to the fields of installation, drawing, and video. Her works question the notion of gender and its codes, of the political and social body, and of our relationship to others. Self-portraits and family life play a central part in her approach. The artist uses these themes to put forward the idea according to which the proximity of personal experience expresses a form of universality. It is also said to embody the heart of the social construct (the “self” in the small framework of the family unit as a metonymy of the “self” on a global scale).
Guillaume Mansart (excerpt from the press release “À mon retour, je te raconte”).
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