Beaux-arts de Paris
La Fabrique du dessin
Exposition
Arts plastiques
Beaux-arts de Paris
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Paris 06
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"La Fabrique du dessin", volet contemporain de l’exposition "Suite française" présente les travaux d'étudiants de l’Ecole.
Une exposition proposée par Dominique Figarella, Valérie Sonnier et François Bouillon
Complément d'information
La Fabrique du dessin
Une ambition pédagogique
La particularité de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts, lieu de patrimoine et de création vivante, est d’allier deux impératifs complémentaires, celui d’un enseignement aux prises avec les questionnements les plus actuels et celui de la conservation et de la valorisation d’une collection exceptionnelle. A l’occasion de l’exposition Suite française, Jean Bonna a vivement souhaité la mise en place d’un volet contemporain présentant les travaux des étudiants de l’Ecole, ainsi que cela se fait régulièrement lors des expositions patrimoniales. Cette initiative stimulante poursuit la double exigence de l’école, à la fois pédagogique et scientifique.
Un exercice formateur
Le commissariat de ce volet contemporain est assuré par Dominique Figarella,Valérie Sonnier et François Bouillon, enseignants de pratiques artistiques. Tous les étudiants ont pu librement proposer leur candidature et se confronter à l’exercice, sans limitation ni de médium ni de format. Une sélection des oeuvres a été effectuée par un jury composé de Dominique Figarella, Valérie Sonnier, Jean-François Bouillon, enseignants à l’Ensba, Gaïta Leboissetier, directrice des études et Emmanuelle Brugerolles, conservateur à l’Ensba et commissaire de l’exposition Suite française. Ces oeuvres seront présentées dans la salle Melpomène, au rez-de-chaussée des salles d’exposition du quai Malaquais.
Un sujet ouvert et poétique
Dominique Figarella et Valérie Sonnier proposent une lecture des oeuvres de la collection Jean Bonna à travers la possibilité de deux niveaux de représentation, comme si deux images se révélaient à chaque fois dans un même dessin. Le dessin en tant qu’oeuvre finie n’occulte jamais totalement le dessin en tant qu’oeuvre en train de se faire. Il est à lui-même son propre « making of ». C’est ce sur quoi ont travaillé les étudiants en élaborant des oeuvres dans lesquelles l’image trace aussi l’histoire de sa propre fabrication. Un sujet qui se concentre sur le thème de la genèse de l’oeuvre d’art pour montrer toute la fécondité du dessin.
Une ambition pédagogique
La particularité de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts, lieu de patrimoine et de création vivante, est d’allier deux impératifs complémentaires, celui d’un enseignement aux prises avec les questionnements les plus actuels et celui de la conservation et de la valorisation d’une collection exceptionnelle. A l’occasion de l’exposition Suite française, Jean Bonna a vivement souhaité la mise en place d’un volet contemporain présentant les travaux des étudiants de l’Ecole, ainsi que cela se fait régulièrement lors des expositions patrimoniales. Cette initiative stimulante poursuit la double exigence de l’école, à la fois pédagogique et scientifique.
Un exercice formateur
Le commissariat de ce volet contemporain est assuré par Dominique Figarella,Valérie Sonnier et François Bouillon, enseignants de pratiques artistiques. Tous les étudiants ont pu librement proposer leur candidature et se confronter à l’exercice, sans limitation ni de médium ni de format. Une sélection des oeuvres a été effectuée par un jury composé de Dominique Figarella, Valérie Sonnier, Jean-François Bouillon, enseignants à l’Ensba, Gaïta Leboissetier, directrice des études et Emmanuelle Brugerolles, conservateur à l’Ensba et commissaire de l’exposition Suite française. Ces oeuvres seront présentées dans la salle Melpomène, au rez-de-chaussée des salles d’exposition du quai Malaquais.
Un sujet ouvert et poétique
Dominique Figarella et Valérie Sonnier proposent une lecture des oeuvres de la collection Jean Bonna à travers la possibilité de deux niveaux de représentation, comme si deux images se révélaient à chaque fois dans un même dessin. Le dessin en tant qu’oeuvre finie n’occulte jamais totalement le dessin en tant qu’oeuvre en train de se faire. Il est à lui-même son propre « making of ». C’est ce sur quoi ont travaillé les étudiants en élaborant des oeuvres dans lesquelles l’image trace aussi l’histoire de sa propre fabrication. Un sujet qui se concentre sur le thème de la genèse de l’oeuvre d’art pour montrer toute la fécondité du dessin.
Horaires
tous les jours sauf le lundi de 13h à 19h
Accès mobilité réduite
Oui
Dernière mise à jour le 13 octobre 2022