Artificial Landscapes - Jérémy Tran
Artificial Landscapes
Jérémy Tran
Projection vidéo – Performance - Exposition de photographie
Vernissage à Genève jeudi 18 septembre 2014 dès 18h :
Performance de Jamil Attar - 19h30
Projection- 20h
Exposition de photographies - jusqu’au 30 septembre 2014
LU-VE 10h-17h, ou sur rendez-vous
Apres avoir été présenté à Biarritz puis à la biennale de la danse à Lyon, la fondation Fluxum est heureuse d’avoir participé au projet de l’artiste Jérémy Tran, Artificial Landscapes et de le présenter au sein du Flux Laboratory.
L’évènement rassemblera la projection du film, une performance du danseur Jamil Attar ainsi qu’une exposition de photographie, prises lors du tournage, qui se prolongera jusqu’au 30 septembre.
ARTIFICIAL LANDSCAPES est une histoire dont l’écriture mobilise une centaine de femmes et d’hommes, tous bénévoles, passionnés et enthousiastes.
Le projet s’organise comme un paysage sensitif, illustrant, au travers de la poésie et du mouvement, les paradoxes de l’être humain. Il est question de solitudes à la fois fantasmées et rejetées, reflet d’une société artificielle prônant l’individualisme en contradiction à son désir de l’Autre.
Vecteur d’expériences sensorielles, le projet a pour vocation d’exprimer fêlures, intimité, espoir, quête de renouveau, d’insuffler à l’image-vidéo les essences de l’art vivant, de l’instant présent, de la performance.
Par la danse, il s’agit d’élaborer un dialogue entre le corps et l’architecture, secouant nos perceptions pour les ouvrir à de nouveaux espaces. Un paysage chorégraphique où l’Autre et l’inattendu trouveront - peut-être - une place.
Comment exister et faire exister l'architecture à travers nos expériences incarnées ? Qui sommes-nous dans ces paysages ?
ARTIFICIAL LANDSCAPES figure une tentative de réponse par le dialogue entre corps et urbanisme, secouant nos perceptions pour les ouvrir à de nouveaux espaces.
Jérémy Tran
Danseur contemporain, formé au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon, Jérémy Tran aborde diverses techniques artistiques, expérimente différents médiums, au service de la corporalité et de l’espace. Au point de rencontre de la danse, de la photographie et de la vidéo, son travail tente de saisir et d’amplifier l’énergie de la présence du corps, sur la base d’une recherche chorégraphique et plastique.
Jamil Attar
Eveillé à la dance classique et contemporaine à l’âge de sept ans Jamil Attar poursuit son parcours au conservatoire National Supérieur de Lyon ou il intègre le jeune ballet 2013. Egalement musicien, il étudie en parallèle la batterie jazz, le piano, le solfège, l’harmonie et l’arrangement. Il intègre en 2013 la classe d’écriture classique, au conservatoire national supérieur musique et danse de Lyon.