Biographie

originaire d’aix-en-provence, tomek jarolim est un artiste plasticien, designer d’interaction et graphiste. à partir de divers médias numériques, il développe des dispositifs personnels, des projets collectifs ou des créations de spectacle vivant.

depuis l’école supérieure d’art d’aix-en-provence, il développe des installations qui interrogent sur la présence du corps dans l’espace pour renvoyer directement au spectateur son statut de regardeur. en 2008, il transpose son univers numérique et coloré pour la scénographie de shades of white, conçu avec le danseur/chorégraphe bruno péré dans le cadre du festival « les affluents » du ballet preljocaj. il part ensuite à la school of the art institute of chicago où il se concentre sur un travail sonore, ut queant laxis, chorégraphié par beth jucovy pour le festival « innovation in dance » à new york. en 2009, il expose invisibles à la 14e biennale des jeunes créateurs d’europe et de la méditerranée à skopje, qui lui permet d’aborder un travail plus sensoriel, qu’il poursuit au sein du programme drii (dispositifs relationnels, installations interactives) d’ensadlab, cycle de recherche, création et innovation de l’école nationale supérieure des arts décoratifs de paris. il y développe actuellement des recherches concernant les lumières interactives, notamment au travers du projet fermer les yeux.

parallèlement, il collabore à divers projets comme fenêtre augmentée de thierry fournier au centre pompidou, discontrol party de samuel bianchini à la gaîté lyrique et citymedia, un mur tactile communicant développé dans le cadre de l’atelier hypermedia de l’école supérieure d’art d’aix-en-provence. en septembre 2011, il signe la création numérique de l’opéra ring saga, mis en scène par antoine gindt (t&m-paris) d’après la tétralogie de l’anneau du nibelung

Site internet et réseaux sociaux

Site internet : http://www.tomek.fr/
Dernière mise à jour le 24 septembre 2012