L'économie du vivant

Programmation Satellite du Jeu de Paume
Exposition
Arts plastiques
MABA Nogent-sur-Marne

Jumana Manna, sans titre, 2017, photographie de tournage. Coproduction : Jeu de Paume, Paris, Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques et CAPC musée d'art contemporain de Bordeaux ©Jumana Manna

Commissaire Osei Bonsu

 

/* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:none; mso-hyphenate:none; text-autospace:ideograph-other; font-size:12.0pt; font-family:"Times New Roman","serif"; mso-bidi-font-family:"Arial Unicode MS"; mso-font-kerning:1.5pt; mso-fareast-language:ZH-CN; mso-bidi-language:HI;} Dernier volet de la 10e édition de la programmation Satellite, l’exposition présentée à la MABA, L’Économie du vivant rassemble les quatre artistes invités au long de ce cycle ‒ Ali Cherri, Steffani Jemison, Jumana Manna et Oscar Murillo ‒ et s’articule autour des oeuvres qu’ils ont créées à cette occasion.

yHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> Tel un récit en quatre parties, L’Économie du vivant puise dans les arts visuels, l’archéologie, la musique et la littérature pour dresser une carte alternative des migrations modernes. Le propos en est de considérer la constante mobilité des corps, des plantes, des animaux, des oeuvres d’art, ainsi que d’un certain nombre d’autres produits culturels.

yHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;">Comprendre l’état du progrès humain au XXIe siècle consiste à consigner l’expérience vécue.yHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> Observant le monde à travers la lentille du présent, les artistes choisis construisent leur propreyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> subjectivité en considérant les rapports qui se nouent entre la mémoire et la fiction, les communautés et les civilisations, les vivants et les morts. Chacun de ces projets révèle ainsi uneyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> dimension du propos curatorial de l’exposition, qui envisage les activités interconnectées liant lesyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> systèmes, structures et processus faisant partie intégrante de la vie contemporaine. S’il arrive queyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> l’on retrouve dans notre réalité quotidienne les traces de ces événements, dont l’histoire peut êtreyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> parfaitement conservée, les micro-récits livrés par nos existences individuelles ou nos souvenirsyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> personnels, ainsi que d’autres effacements, peuvent passer entièrement inaperçus.

yHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;">L’Économie du vivant fait référence à une reconfiguration du temps historique offrant une visibilitéyHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL;"> aux fantômes de la civilisation.

yHðÿ¿0ùzL; mso-bidi-font-family: °ïÿ¿×DúyÀ”¯ ¡f>yHðÿ¿0ùzL; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: ZH-CN; mso-bidi-language: HI;"> Basé à Londres, Osei Bonsu est commissaire d'exposition et auteur. Il a participé à de nombreux catalogues et expositions, dont la 56e édition de la  Biennale de Venise et  Arts and Food, l’exposition de la  Triennale de Milan. Il a développé plusieurs projets artistiques internationaux dont  Pangea II: New Art from Africa and Latin America (Saatchi Gallery, 2015) et la  1-54 Art Fair (2013-2014). Il est également consultant pour des organisations artistiques privées ou associatives et contribue à des publications, comme  New African, NKA: Journal of Contemporary African Art, Mousse Magazine ou  Art Review.
 

Autres artistes présentés

Jumana Manna
Steffani Jemison

Horaires

Ouvert au public, les jours de semaine de 13h à 18h, les samedis et dimanches de 12h à 18h

Adresse

MABA Centre d'art contemporain 16 rue Charles VII 94130 Nogent-sur-Marne France

Comment s'y rendre

RER A : Nogent-sur-Marne puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture RER E : Nogent-Le Perreux puis direction Tribunal d’instance Métro ligne 1 : Château de Vincennes puis bus 114 ou 210, arrêt Sous-préfecture

Dernière mise à jour le 24 février 2022