Intervalles

Formes géométriques, surfaces quadrillées, points suspendus… Dans ses images, Liam Stevens décline un langage graphique proche de l’abstraction, où le plein alterne avec le vide, où l’intervalle importe autant que les segments qui l’enserrent. S’inspirant de son environnement, en particulier celui du centre de Londres où il habite, il observe minutieusement l’espace urbain et y décèle des grilles, des structures, des intersections, qu’il réinterprète dans ses compositions, à la manière d’une partition musicale, par touches de couleurs. 

Pour son exposition au Studio, il présente une toute nouvelle série de peintures, collages et volumes. Avec une saisissante économie de moyens, et en jouant avec les échelles de la représentation, l’artiste dispose les pièces d’un puzzle géant, formant un ensemble d’architectures en suspens, à l’équilibre fragile.

Tarifs :